MIRANA – ONG humanitaire – Parrainez un enfant de Madagascar

Billet de juillet-août : Poésie estivale

Dans le billet de juin, vous aviez une photo des étudiants parrainés entourant Christine. Parmi eux se trouvait Junot qui avait concocté un poème d’accueil et de remerciements à Laurence et Christine. Nous voulions partager le lyrisme de ce texte  avec vous. Il n’échappera à personnes que les références religieuses sont nombreuses et c’est bien compréhensible pour un jeune qui se destine à la prêtrise !

Dieu tout puissant, au plus haut des cieux.
A vous les sœurs Jeanne Delanoue à Madagascar.
A vous les parrains et marraines étrangères.
A vous les responsables laïcs, assistants et assistantes (accompagnateurs et accompagnatrices).
A vous tous les bénéficiaires de l’Association MIRANA.

Honorable assistance : Mesdames et Messieurs, Bonjour !

La fleur belle de jour s’épanouit de joie quand vient le matin.
Les pousses de riz, s’habillent de vert tendre, quand vient la pluie.
Les jeunes élèves bondissent de joie à l’annonce des vacances.
Quant à nous, nous sommes ravis de vous voir aujourd’hui, chers parrains et chères marraines. C’est ainsi que nos premiers mots sont pour vous souhaiter la bienvenue ou tongasoa dans notre grande île à Madagascar.

Nos salutations sont comme la venue de la pluie fine, elle arrive en fines gouttelettes, pour inonder tout le sol, c’est avec une grande joie, que nous vous accueillons en ce jour.

En second lieu, j’aimerais bien vous remercier les donateurs de l’association Mirana :
Merci pour tout ce que vous faites pour nous, c’est grâce à vous que nous sommes comme cela, des personnes bien nourries, bien éduquées, bien hébergées.
Vous avez donné aussi à notre famille une nouvelle et meilleure vie.
C’est grâce à votre soutien que nous avons ainsi un beau futur et un avenir plus lumineux, comme tous les hommes qui méritent cela.

Bien chers, il me vient à l’esprit les paroles de l’Evangile qui disaient :
« En effet, j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger. J’ai eu soif et vous m’avez donné à boire. J’étais nu et vous m’avez habillé, j’étais malade et vous m’avez rendu visite ».
Cela veut dire que toutes les fois que vous avez fait cela à nous, c’est au Seigneur Jésus que vous l’avez fait.
Et c’est pour cela que je vous souhaite avec le roi des cieux devant le juge éternel : « Venez, vous qui êtes bénis par mon Père, prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la création du monde ».
Chers parrains et chères marraines encore une fois merci.

Honorable assistance : mesdames et messieurs.
Tout ce que l’on a commencé doit avoir une fin.
Car la destination finale du fourrage est le zébu, la destination finale du zébu est la viande de bœuf. Et la destination finale de la parole est le remerciement, donc merci pour votre aimable attention !

Merci, merci beaucoup, merci infiniment, merci mille fois !

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